Les aides internationales en RDC : Appuis au développement durable ou charité male Ordonnée ?
De nos jours plusieurs aides internationales sont acheminées en République
Démocratique du Congo avec comme objectif promouvoir la croissance économique
et lutter contre la pauvreté ceci comme retombée du sommet du millénaire pour
le développement en 2000.
Etant l’un des vastes pays du continent Africain, le secteur éducatif et agricole de ce pays fournissent un cadre parfait d’observation et apparaissent comme un laboratoire à ciel ouvert des aides internationales.
Face à ces aides plusieurs chercheurs se questionnent sur les vrais objectifs de ses œuvres. D’où la question : Comment les aides internationales sont-elles utilisées pour réaliser le développement durable en République Démocratique du Congo ?
L’enseignant Botchaka Lifafu dans son étude intitulée
« Impact du financement extérieur
sur le budget de la République Démocratique du Congo »affirme que
quoiqu’ayant bénéficié des financements extérieurs énormes pour appuyer
plusieurs de ses secteurs, le pays n’a atteint jusque-là une croissance économique
boiteuse.
En effet, cette étude nous pousse à réfléchir autour des leit motiv de ses aides. Dwight H. et alliés soutiennent dans leurs recherches que dans la majorité des pays donateurs, la fourniture de l’aide a pour principale motivation d’appuyer leurs objectifs de politique étrangère et leurs alliances politiques. Les objectifs de hausse des revenus et de lutte contre la pauvreté tendent à être secondaires.
Une réflexion
appuyée par l’Ecrivain Français Thierry Vircoullon dans son livre « les
coulisses de l’aide internationale en RDC » qui pense que dans la plupart
des cas, l’aide internationale apparaît comme une charité male ordonnée du fait
que certaines organisations non-gouvernementales maîtrisent moins le contexte
du pays. L’auteur ajoute que la multiplicité des plusieurs organisations attise
aussi une certaine rivalité et rend les aides moins efficaces sur terrain.
Située au centre du continent africain, plusieurs
aides sont orientées en Rdc mais malheureusement sa population vit avec
moins d’un dollar par jour et le pays peine toujours à sortir du gouffre de
la misère. Le life α Peace Institute aux
Kivu dans son étude menée dans la partie Est de la République Démocratique du Congo
affirme que les aides et les autres ressources sont souvent males utilisées
cela suite à un sérieux problème de coordination. D’après cette étude, les
coordinations sont souvent serrées, les
conflits inter-communautaires, l’insécurité
rendent les aides et les ressources extérieures fragiles et n’atteignent
pas l’attente de la population. Cette organisation soulève aussi la présence
importante et la divergence d’éthique ou des priorités des organisations non
gouvernementales en Rdc.
Pour sa part, le rapport national OMD, Evaluation des progrès accomplis par la Rdc dans la réalisation
des objectifs du millénaire pour le développement en 2012 se dit être satisfait
des progrès réalisés grâces aux appuis extérieurs mais renseigne que le taux
d’analphabète s’est accru en passant de 69.3 % en 2007 à 80 ,1% en 2012.
7ans après ,plusieurs organisations tant nationales qu’internationales s’indignent toujours contre le taux élevé d’analphabète en RDC.
D’autres secteurs comme l'agricole, l'industrie et la sanitaire peinent toujours a bien décollés malgré les appuis extérieurs. Partant de ce constat amère il Ya lieu de pointer le doigt gouvernement congolais qui est responsable numéro un du développement du pays est qui fait montre d’une crise de suivis. L’observateur moyen pense que les aides extérieures viennent supplées mais pas résoudre tous les problèmes liés au développement.
7ans après ,plusieurs organisations tant nationales qu’internationales s’indignent toujours contre le taux élevé d’analphabète en RDC.
D’autres secteurs comme l'agricole, l'industrie et la sanitaire peinent toujours a bien décollés malgré les appuis extérieurs. Partant de ce constat amère il Ya lieu de pointer le doigt gouvernement congolais qui est responsable numéro un du développement du pays est qui fait montre d’une crise de suivis. L’observateur moyen pense que les aides extérieures viennent supplées mais pas résoudre tous les problèmes liés au développement.
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